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              J'ai plus le temps 
                 Au Festival de Suresnes Cité danse | 
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            Argument 
              Régis Obadia répond à la sollicitation d'Olivier Meyer de créer à "Suresnes Cité Danse" une chorégraphie originale pour 7 danseurs Hip-Hop. Le défi de cette création est de lier la force communautaire et la virtuosité de la gestuelle Hip-Hop, à l'imaginaire, la poétique et la dramaturgie de sa danse à lui ... c'est aussi le pari d'une véritable rencontre. 
               
              "J'ai plus le Temps"... les paroles résonnent et font naître la danse. 
              Ces danseurs fous d'ivresse, de vertige et de défis se jettent à corps perdus dans un ballet de gestes syncopés, dans une danse de l'absolu défiant toute apesanteur. 
              La complicité, la rage, l'humour et le besoin d'amour se mêlent là où la prose rime avec virtuoses. Ces guerriers du Hip Hop vont déchaîner leurs forces jusqu'au dernier souffle pour tenter d'atteindre une autre réalité, celle-la même où la danse est leur rêve accompli."
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            Régis Obadia 
               
                  Distribution 
                  Mise en scène / Chorégraphie : Régis Obadia 
                  Dramaturgie / Assistante mise en scène : Lisa Wiergasova
                   
                  Conception bande son / Costumes : Lisa VViergasova 
                  Chorégraphies et interprétation :Marie Courchinoux, Nordine Hoummani, Fabrice Labrana,  
                  David Phiphak, Samuel Roger, David Sejor, Teo Vichittra Silivay 
                  Conseiller lumière : Etienne Milin 
                  Coproduction : CNDC l'Esquisse 
                  Production : Festival de suresnes Cité Danse / Théâtre Jean vilar 
                   
                  Presse 
                  "Un ange est passé donc, dans le spectacle " j'ai plus l'Temps "... de Régis Obadia. Il a peu touché au vocabulaire de base du hip hop, mettant surtout en valeur les qualités individuelles. Mais il a introduit une poésie grave qui n'est pas sans rapport avec une certaine désespérance qui habite le langage hip-hop, dans les cassures, les suspensions, les arrêts. J'ai plus l'temps..., qui donne le titre au spectacle est un rap d'ouverture. Il s'ensuit des séquences, jetées en scènes de rue, en flashes stroboscopiques, en rêves dérisoires et sensuels qui s'échouent à Bora Bora, en une ode qui se casse sur le corps faussement musclor de David Sejor, en un chant triste et sacré de l'ange Nordine Hoummani."  | 
           
         
          
            
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              Marie-Christine Vernay 
                Libération  
                22 janvier 1999 
   
  "J'ai plus l'temps" de Régis Obadia est une chorégraphie introductive de très bonne qualité. La patte du directeur artistique angevin est reconnaissable : il joue toujours aussi bien avec les lumières et les rythmes, et travaille ses sujets, ici le hip hop, de manière originale. Six danseurs et une danseuse relatent le quotidien des banlieues entre danse, rap, bagarres et démonstrations. L'utilisation de la voix - des textes forts récités par un jeune danseur au micro- donne encore plus de puissance au propos quand il parle de sa condition au milieu des tours d'immeubles, de ses relations avec les autres ou avec la police. Tout doit aller très vite, au rythme de la bande son, réalisée par Lisa VViergasova, qui coupe et tranche des situations, des contextes difficiles et qui inclut des sons électroniques "'ambiant " ou d'instruments classiques. Un très beau sujet."  | 
             
           
          
            
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               Le Courrier de l'Ouest 
                22 novembre 1999 
   
  "La pièce "J'ai plus l'temps" est un double défi : elle conjugue les règles précises de la danse à celles de la rue. Mise en scène, musique et éclairages chiadés soulignent, plutôt qu'ils ne domestiquent, ce torrent d'énergie brute d'où sourd une poésie grave, faite d'humour, d'amour et de désespérance."  | 
             
           
          
          
            
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              Ouest  France 
                23 novembre 1999 
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